Marie

Catégories : REEL FESSESTIVITES Libertins
il y a 9 ans

Marie, héroïne de mon récit « Routine conjugale », devient moins ardente depuis qu’elle a des arrière-petits-enfants, mais ce fut une chaude partenaire; toujours en demande de sexe jusqu’à un âge avancé.

Autrefois nous allions plusieurs fois par an dans les maisons de rencontres à Paris, rue Boursault, à la Cheminée et dans celle de la rue de Courcelles, elle s'y faisait ramoner la chatte et enculer. Il y a quelques années, elle a trouvé que, son physique se détériorant, elle n'était plus attirante et pourtant les mecs se précipiteraient encore si, comme autrefois, elle s'allongeait sur le ventre, écartant les fesses de ses deux mains. Longtemps elle se promenait nue sous une minirobe et, au cours de pique-niques réunissant plusieurs familles bourgeoises, il m'est arrivé souvent, alors que nous étions assis côte à côte, de lui mettre, sous sa jupe, un doigt dans la chatte et un autre dans le cul pendant que nous continuions à parler avec les autres.

Si je racontais en détail tout ce que nous avons fait, il y a de quoi faire gicler des hectolitres de sperme aux lecteurs de Fessestivites. Elle a assisté à de nombreuses exhibitions de ma part, elle en a même photographié. Outre les plugs dans mon cul et les strap-on, la routine, elle m'a fait tout ce que je lui ai demandé : jusqu'à 100 épingles dans chaque fesse (ce que j'aimerais subir plus souvent car peu de partenaire ont la patience de le faire), fist, fessée, clouage de la peau des couilles sur la planche à découper familiale et même des aiguilles médicales dans les couilles.

Elle adorait s’exhiber, seule ou avec moi, se faire bondager, enculer, dilater le fion, écraser les seins avec le système de ma fabrication, aller à des rencontres avec d’autres couples avec des mots excitants écrits au feutre sur son corps, se rouler dans la vase avec moi et baiser ainsi bien gluants ; elle aimait moins, mais acceptait volontiers pour m’être agréable, me demandait même parfois, la fessée et un cannage modéré, quelques épingles dans les fesses et la caresse des orties fraîches qui constellaient ses seins, ses fesses et son ventre de très artistiques pustules.

Depuis quelques années nous faisons chambre à part, c'est plus confortable mais, si cela devient très rare maintenant, cela n'empêchait pas de nous réunir dans ma chambre, équipée à cet effet, pour des parties de jambes en l'air.

Quand je dis équipée, cela signifie qu'il y a dans cette chambre tout notre matériel et aussi des pitons derrière la tête de lit pour y attacher les cordes ou courroies destinées tenir les jambes en l'air et un grand miroir à côté du lit pour nous voir en action. Autrefois, dans une autre maison, il y en avait un de chaque côté et même, dans notre appartement des années 1960, un en plus au plafond.

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